Le champion olympique Alain Bernard a signé le meilleur temps du 100 m nage libre (47.27) en demi-finales des Championnats du monde et s’est qualifié pour la finale.
Les huit qualifiés pour la finale ont tous nagé sous les 48 secondes. Lepremier éliminé est le champion du monde en titre, l’Italien Filippo Magnini,neuvième temps (48.04).Frédérick Bousquet, 5e de sa série mais 8e temps, a accroché pour deux centièmes la dernières places qualificatives.
Bernard , triple médaillé aux JO-2008, a pris le départ à côté de Cielo, médaillé de bronze sur 100 m libre à Pékin et sacré sur 50 m libre dans la première demi-finale, disputée sur un rythme élevé. Il a pris un avantage psychologique sur le Brésilien en le dominant sur cette demie.
Dans la seconde demi-finale, suivie depuis le bord du bassin par les deux Français, c’est le Canadien Brent Hayden, champion du monde en titre ex-aequo avec Magnini, qui a touché le premier (47.88).
La Fédération internationale continue à la valse hésitante autour des combinaisons. Lors d’une réunion à Rome, le bureau de la FINA a approuvé un nouveau règlement qui entrera en vigueur en 2010 et qui interdit le "tout polyuréthane". Les nageurs devront donc s’équiper d’un cuissard, pendant que les nageuses auront un vêtement avec bretelles qui devra s’arrêter au-dessus du genou. Le tout sans fermeture éclair. Reste que la mise en place, prévue au départ au 1er janvier 2010, a été repoussée de quelques mois. Fabien Gilot, juste avant cette annonce officielle, livrait son sentiment sur la question, révélateur du désappointement des nageurs.
"En 2010, on va passer au tout tissu pour les combinaisons", a déclaré le directeur exécutif de la Fina, Cornel Marculescu. "Un groupe scientifique va se pencher sur les questions techniques, l’épaisseur, la flottabilité, la perméabilité, afin que les équipementiers sachent dans quelle direction aller. On a parlé du 1er janvier. Mais le problème est de savoir quand les équipementiers auront les (nouvelles) combinaisons prêtes. On doit être certains qu’ils seront prêts. L’entrée en vigueur interviendra en mars, avril ou mai au plus tard." Quant aux records du monde actuellement battus à la pelle, ils sont "établis dans des conditions légales à Rome. Je suis sûr d’une chose : on a de grands nageurs et je suis certain que la natation va continuer à progresser. Il faut accepter d’être au XXIe siècle, il n’y a rien de mal. Tout change, mais nous voulons contrôler ce qui se passe pour le bénéfice des nageurs. 2010 inaugurera une nouvelle ère dans la natation."
En réponse, Bob Bowman, l’entraîneur de Michael Phelps, n’a pas caché son mécontentement : "Je veux que la natation redevienne une course. Ce report au mois d’avril est inacceptable. Cela doit entrer en vigueur le 1er janvier. OU alors lundi prochain... On ne peut pas croire ce qu’ils disent. Ca pourrait être jamais", a-t-il lancé avant de menacer le retrait de son protégé de toute compétition en 2010 tant que le "tout tissu" ne serait pas entré en vigueur.
La troisième soirée de la natation des Championnats du monde réserve une extraordinaire et très attendue finale du 200m nage libre entre Michael Phelps et Paul Biedermann. Un duel très indécis. Michael Phelps et son record de huit titres olympiques à Pékin face à Paul Biedermann qui a effacé des tablettes le record du monde du 400m nage libre de Ian Thorpe. Voilà l’affiche réservée ce soir, dès 18h, lors de la finale du 200m nage libre. L’actuel roi de la natation mondiale contre celui qui pourrait bien lui faire de l’ombre lors des prochaines saisons. Michel Rousseau, consultant pour FranceTélévisions, décrypte les points clés de cette opposition.
- La finale du 200m est l’une des courses les plus attendues de la semaine... - "Dans un championnat, il y a trois courses très observées : le 100m nage libre hommes et femmes, et le 200m nage libre messieurs, qui reste un prolongement du sprint. On peut parfois ajouter le 400m lorsqu’il y a deux ou trois stars qui se confrontent. Ce sont les épreuves phares, d’autant que cette fois-ci, on a une star planétaire qui a tout gagné plusieurs fois, l’Américain Michael Phelps, et Paul Biedermann, pas vraiment un nouveau venu car cela fait quatre ans qu’il monte petit à petit. Pour tout le monde, le favori, c’est l’Allemand. Mais je pense pour ma part que l’expérience de Phelps dans les départs, dans les virages, devrait lui permettre malgré tout d’aller tirer son épingle du jeu et de s’imposer."
- Quelles vont être les clés de cette finale ? - "C’est très simple à décrypter. Si Phelps prend 1m ou 1,50m au départ et qu’il conserve cet avantage jusqu’aux 150m, il gagnera. S’il laisse revenir l’Allemand en essayant de s’économiser pour faire une grosse dernière longueur, là il prendra tous les risques car Biedermann est un diesel qui fait le 50 dernier mètre en accélération, ce qui le rend difficilement battable."
- Une finale de Championnat du Monde, qui plus est face à Michael Phelps, peut-elle jouer mentalement sur Paul Biedermann ? - "C’est un des éléments de cette course. L’Américain est en confiance, il a l’habitude des grands rendez-vous, Biedermann un peu moins même si c’est un Allemand, et les Allemands comme les Anglais ne doutent pas sur le plot de départ. Malgré tout, il aura Phelps à côté de lui. Ce n’est pas neutre."
- En cas de victoire ce soir, Paul Biedermann peut-il devenir la nouvelle star de la natation mondiale ? - "Assurément. Il vient déjà de détrôner le record de Ian Thorpe sur 400m, et s’il battait le multiple champion du monde et olympique, cela en ferait une des stars montantes qui pourrait être la star de ces trois prochaines années jusqu’aux Jeux Olympiques de Londres."
- Paul Biedermann, ce n’est pas une étoile filante ? - "C’est tout sauf ça. Il était champion d’Europe du 200, 400, 1500m en juniors voici quatre ans. Il a petit à petit fait son chemin, ses preuves."
Plusieurs records du monde ont été battus dimanche au premier jour des championnats du monde de natation dans les bassins du Foro Italico à Rome, les derniers avec les combinaisons haute performance.
La Suédoise Sarah Sjostrom a ainsi battu celui du 100m papillon, signant un chrono de 56.44 secondes lors des demi-finales de l'épreuve. En séries le matin, elle avait déjà failli battre le record vieux de neuf ans de la Néerlandaise Inge de Bruijn (56.61).
Par ailleurs, l'Allemand Paul Biedermann a effacé des tablettes le record du monde de la star australienne Ian Thorpe sur 400m libre, signant en finale un chrono de 3:40.07, soit un centième de mieux que la "Torpille" voici sept ans.
Enfin, l'Américaine American Ariana Kukors a battu en demi-finale le record du 200m quatre nages détenu depuis sept ans par l'Australienne Stephanie Rice (2:08.53) avec un chrono de 2:07.03. AP
Voici la 9eme et dernière présentation de photos prises en GUADELOUPE . Il en reste encore beaucoup mais je ne peux tout mettre . On peut intituler cette série Architecture , Faune et Flore .
Eglise de Le Moule
Célèbre cimetière de Morne à l'Eau
Statue à Basse Terre
Marché aux halles de Basse Terre
Tour horloge aux halles de Basse Terre
Bougainvillier
Amaryllis
Là-bas , les fougères ressemblent à des arbustes
Je ne connais pas .
Fleur de bananier en attente d'éclosion
Frangipanier
Il pousse de tout sur les troncs des arbres
Balisier jaune
Amaryllis
Alpinia
Balisier rouge
Drôle d'arbre !
Un colibri vu lors de la montée à la Soufrière .
De la famille des échassiers .
Des sucriers qui nous accompagnaient pendant le pique-nique de Petite Terre
Des pèlicans dans le port de Le Moule
Dans les chambres , il n'y a pas que des êtres humains!!
Sur Petite-Terre des iguanes
Dans le lagon de Petite-Terre des poissons de toutes les couleurs dont ce beau bleu .
Retour de Petite-Terre , des dauphins nous accompagnent .
On se moque , on dédaigne c'est la bétise humaine . On admire , on copine c'est l'art de profiter de l'autre par l'être humain .
L'Écossaise, une chômeuse de 47 ans, est passée de l'ombre à la lumière du jour au lendemain, grâce à son éblouissante prestation dans un télé-crochet britannique.
Il y a une semaine encore, Susan Boyle était une chômeuse de 47 ans vivant seule avec son chat Peebles dans la petite ville de Blackburn (Écosse). Elle est aujourd'hui l'objet de toutes les sollicitations, invitée par Oprah Winfrey à la télévision américaine et réclamée par les rédactions du monde entier (Danemark, Japon, Canada, Australie). Son entrée aussi fracassante qu'inattendue dans le monde du show-business n'aura duré que quelques minutes. Juste le temps qu'il lui a fallu pour interpréter I Dreamed a Dream - chanson tirée de la comédie musicale Les Misérables - devant les caméras de «Got Talent» (voir la vidéo), équivalent britannique de « Nouvelle star ». Depuis sa diffusion initiale sur l'antenne de la chaîne ITV 1, samedi 11 avril, l'extrait a été multidiffusé sur Internet. Mieux, il a battu tous les records de fréquentation sur le site de vidéos en ligne YouTube, avec plus de 26 millions de spectateurs ! Du jamais-vu.
La mine déconfite du jury
Dernière-née d'une famille de neuf enfants, Susan Boyle a grandi dans un environnement musical. « Je chante depuis l'âge de 12 ans », a-t-elle déclaré. Après avoir participé à différents spectacles d'école, Susan Boyle a pourtant dû attendre 1999 pour réaliser un enregistrement de Cry Me a River, édité en CD à mille exemplaires pour une vente de charité. Elle a aussi participé il y a quelques années à une émission de télévision baptisée «My Kind of People», sans grand résultat.
L'ovation extraordinaire du public et la mine déconfite des membres du jury de l'émission «Got Talent» après la prestation de Boyle constituent un moment de télévision rare. Accueillie fraîchement par des jurés ouvertement sceptiques lors de son arrivée sur le plateau, Susan Boyle en est repartie en grande triomphatrice. Il y a quelques années, Paul Potts, vendeur de téléphones portables aux dents gâtées mais à la voix d'or, écoula trois millions d'albums après son passage dans l'émission. « Il a été une inspiration pour de nombreuses personnes et m'a fait penser que j'avais mes chances », a expliqué Susan Boyle. Avec son épais accent écossais et ses allures de ménagère, la vieille fille - elle a avoué n'avoir jamais été embrassée par un garçon - ne partait pas gagnante dans la course, loin de là.
C'est sur la foi de capacités vocales réellement époustouflantes qu'elle a triomphé du cynisme et de l'arrogance des présentateurs de ce type d'émission. Au passage, Susan Boyle démontre qu'il subsiste des talents cachés, y compris dans notre ère d'ultracommunication. Quelle ironie, enfin, que ce soit la télévision et son obsession pour l'image qui permette à une femme qui a tout misé sur l'être sans jamais miser sur le paraître de se faire reconnaître à sa juste valeur !
Les observateurs pronostiquent déjà un énorme succès pour l'album que cette nouvelle star ne va pas manquer d'enregistrer. Avec sa voix taillée pour les comédies musicales, elle pourrait même finir par faire de l'ombre à la star britannique du genre, Elaine Page, qu'elle reconnaît comme inspiratrice principale. Qui sait ?
Suite de ma journée à Petite Terre : après la présentation de l'ile , maintenant des photos de l'apéro et du repas
On commence avec un grand verre d'eau et un zeste de citron .
Ensuite : mise en bouche avec du punch . Certains ont les cheveux qui commencent à se dresser sur la tête .
Maintenant : ti-punch . Ca rigole dur .
Le repas est commencé : entrée guadeloupéenne .
Il n'y a pas que nous qui sommes à table . Ici , de gros bernard l'hermite (je ne me rappelle plus le nom exact) .
Les sucriers aussi en sont au repas .
La suite : grillade de poulet et pommes de terre cuites dans la braise . En train de cuire , des bananes pour le dessert .
Entre deux assiettes , le capitaine nous raconte des histoires .
C'est la queue pour le dessert !
Maintenant : café additionné de rhum . Ca gratte la tête !
Jean Yves est à l'eau . Enfin , c'est ce qu'il veut faire croire . Pour le repas , on avait le choix : eau , vin rouge ou rosé .
Après le café, selon Gilles le capitaine , la tradition de l'ile : mariage en buvant cul sec un verre de ti punch en se regardant dans les yeux (si ce n'est pas le cas , il faut recommencer) . Nico et Laëtitia n'y ont pas échappé ( grâce à qui ? devinez !) . Mariage réussi !